1. Dans une taverne du vieux Londres Où se retrouvaient des étrangers
# L( L' \6 ?+ Z [9 a Nos voix criblées de joie montaient de l'ombre
1 ^. i# S5 L" \6 E Et nous écoutions nos c?urs chanter
# |$ {5 {6 ~7 f; h3 a* {, U# V! y C'était le temps des fleurs( u/ e/ v Y: [" W
On ignorait la peur! m3 Z$ r; n( M4 d# Z
Les lendemains avaient un goû;t de miel
+ x. O6 D( T$ a9 C: U Ton bras prenait mon bras8 N# d1 q; B e
Ta voix suivait ma voix
" o; f( Z8 `! o' k& [9 h On était jeunes et l'on croyait au ciel0 V7 p7 V1 a5 F' q+ A3 s4 y
La, la, la……
1 f8 Q9 q, T: B& U {On était jeunes et l'on croyait au ciel}
4 I5 d5 S/ K; h4 O2 ~0 n 2 . Et puis sont venus les jours de brume
% @6 _- U& _8 C- b8 s" N( d1 M Avec des bruits étranges et des pleurs
+ s o0 c# G0 V& t& I' f3 } Combien j'ai passé de nuits sans lune
' E1 n$ q! |0 X( ]9 q A chercher la taverne dans mon c?ur ]( }8 V% Y9 [8 d
Tout comme au temps des fleurs4 C* S8 ~' s: Z+ p8 [8 Q
Où l'on vivait sans peur- I0 h8 M" N. A z5 F3 Q! R) R
Où chaque jour avait un goû;t de miel+ Y% w' m" K8 Z( e! l+ G, ?
Ton bras prenait mon bras/ `& a* T- t _8 Y
Ta voix suivait ma voix% G; B! ]& z) Z5 p' j
On était jeunes et l'on croyait au ciel' b* N. [3 Q' L: v
La, la, la ……
% |! t( j5 M2 e! l: k8 r" o {On était jeunes et l'on croyait au ciel}
1 [( C' H$ c ?7 X* w A7 J! V 3. Je m'imaginais chassant la brume! W' S4 `. ^) s I2 M2 V& p! |9 W
Je croyais pouvoir remonter le temps: `/ L3 U$ `( p/ ?* Z, I
Et je m'inventais des clairs de lune
( @/ O' Q+ U4 I* L) e2 N- i+ t Où tous deux nous chantions comme avant
O1 I% F) E( O# O C'était le temps des fleurs" [; N1 e7 J: O- ^! V2 q
On ignorait la peur3 d5 b5 O1 l4 ?1 G" R* x) K
Les lendemains avaient un goû;t de miel' {& G# K- O) M. x& r
Ton bras prenait mon bras
. R4 [7 d& g5 ~! p3 n Ta voix suivait ma voix% S. ?) s* P# `5 d- [: ^/ k
On était jeunes et l'on croyait au ciel: V/ k& l0 A6 t6 Z- ]
La, la, la ……
l0 k' v* M; m; {& H& V" _ {On était jeunes et l'on croyait au ciel}0 m5 k* ^+ a6 ^) S5 r0 j
4. Et ce soir je suis devant la porte y- N' n1 C; M' e* u) T' k! v
De la taverne où tu ne viendras plus' A1 Y$ c3 T. T( Z2 _
Et la chanson que la nuit m'apporte
( f6 v7 S+ }' F: F Mon c?ur déjà ne la reconnaî;t plus& s q m8 n& ~- E5 F
C'était le temps des fleurs9 u0 L& V3 n9 B/ Z5 o
On ignorait la peur$ Y* M+ Y; K2 D# \8 W
Les lendemains avait un goû;t de miel
- I3 q/ j$ t# f H: ~7 } {3 o) K Ton bras prenait mon bras% z" k3 Z) P: `4 @) b
Ta voix suivait ma voix) ?4 b6 {$ Z4 N- d
On était jeunes et l'on croyait au ciel
- J" z" I( @9 V- ^, P5 Y+ c( I La la la……) S( F. C8 ~* A3 Z6 p# }: K
{On était jeunes et l'on croyait au ciel} |