De l’Aigle et de la Corneille.5 S' t) g ~; T, a- a2 Y
Un Aigle voulant manger une hu?tre, ne pouvait trouver moyen, ni par force, ni par adresse, de l’arracher de son écaille. La Corneille lui conseilla de s’élancer au
5 ]7 E( ^1 t, A plus haut de l’air, et de laisser tomber l’hu?tre sur des pierres pour la rompre. L’Aigle suivit ce conseil. La Corneille qui était demeurée en bas pour en attendre- E) @7 V% t9 C! v: a1 h# L" J) v
l’issue, voyant qu’il avait réussi, se jeta avidement sur le poisson qu’elle avala, ne laissant à l’Aigle que les écailles pour le prix de sa crédulité.% Z3 I! u/ _6 E# n+ C
hu?tre f.n. 牡蛎, 蚝7 A* u5 K+ Q; z/ h1 L4 z( Q' P. ?: \
écaille f.(蛤、蚌等的)壳
( q: d+ y7 Y; h/ c3 m* J rompre v.t 打破, 打碎% B6 S/ p$ @- k
crédulité n. f. 轻信, 盲从, 幼稚 |