Elle s'y attarde, comme accrochée par dessus son toit, Et pénètre le boudoir habité par une ame esseulée. Elle se présente, insistante, à la fenêtre au rideau tiré, Indélébile sur la planche où tomberont les coups du battoir.
1 J f4 B: d' Z8 M8 R: U 此时相望不相闻,愿逐月华流照君。
+ \3 a2 b! v, l7 H# ? 鸿雁长飞光不度,鱼龙潜跃水成文。1 h) r* [5 B% A) M" a/ |! a- }- d8 u6 Q
A cette heure, à défaut de nouvelle, nous regardons la même lune, Mais je voudrais être un de ces rayons qui te caresse……6 Q4 \6 }; _4 S3 Z1 [
Que l 'oie sauvage porte mon message aussi loin que la lune! Que les ondes nées des ébats des poissons composent mon courrier!
7 S, g. \* k; o) \- e9 w( a' O, O 昨夜闲潭梦落花,可怜春半不还家。5 `( h! y% R0 @6 }, q
江水流春去欲尽,江潭落月复西斜。$ x, e+ R1 z; G7 g2 O! t
La nuit précédente, un rêve, où les pétales tombaient sur l''étang; La mi-printemp déjà passée, et toi, malheureuse, tu ne me reviens pas……( O6 _ K* I: W d$ h
Avec les eaux du fleuve, le printemps touche presque à sa fin, A l''ouest, près de l ''étang, la lune est sur son déclin;
" u! \5 P5 |+ r% ?7 ^ 斜月沉沉藏海雾,碣石潇湘无限路。
4 M7 |3 U. D) _3 [( B7 ~$ q9 S 不知乘月几人归,落月摇情满江树。, l% G+ p6 d h4 Y p9 c9 b# B
EIle va bient?t se coucher au fond de la mer brumeuse, Mais longue est la route, avant que les fleuves, Xiao et Xiang se rejoignent: Combien sont-ils, ceux qui rentrent au clair de lune, cette nuit-là? A la lune déclinée, les arbres du fleuve soupirent, mélancoliques. |