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会计考友

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ention au chien
Un monsieur va chez un de ses amis qu’il n’a pas vu depuis lontemps.Sur la porte du jardin,il y a une pancarte : ‘Attention au chien !’Le monsieur lit et bien sûr n’ose pas entrer de peur d’ être mordu.
: C3 c2 b( ]9 |3 k8 Q/ QIl demande à son ami :
——Pourquoi as-tu mis dessus.
9 W- \; X+ C9 x; X$ {- ?
La porte tournante
6 ?; S$ a6 x5 q* p$ m. HUn monsieur entre dans la porte tournante d’un restaurant et tourne, tourne, sans arrêt. La tête basse,il a l’air de réfléchir. Le garçon, étonné,lui demande une explication :
1 S" Z* ?2 E1 t! A0 C——C’est idiot,répond ce monsieur en continuant à tourner,mais je n’arrive pas à me rappeler si je voulais entrer ou sortir.

2 Q) ?1 p: d; X2 |8 q* KUne cliente difficile
2 P1 i- c8 a4 s9 q# v! DUne dame veut acheter une paire de chaussures. Mais elle est très difficile et vient d’essayer plus de quinze paires :aucune ne va.
Enfin, la dame sourit :
5 f9 q' c  r- r- H) N" E——Voilà la paire qu’il me faut. Ces chaussures me vont très bien. Faites-moi un paquet et dits-moi combien je vous doit.
——Rien du tout, madame, ce sont votre chaussures.
% e# y. F9 N/ I- Q$ A3 L- X* x
; |! T! ]$ w. D* h  C0 M4 k7 ^  H! pUn manteau de lapin
# {; l5 r- }. VUne cliente choisit un manteau de fourrure :
——Ce manteau de lapin blanc me plâit.Mais cette fourrure ne craint-elle la pluie ?
——Mais,madame,bien sûr que non.Avez-vous déjà vu un lapin avec un parapluie ?

2
Mon manteau
/ `2 _4 t) M5 }* ^Monsieur Dujardin vient de finir son dessert.Il paie le garçon et prend son manteau.Il va sortir,quand quelqu’un s’approache de lui et lui demande :
  Y& c6 o4 c% _. u$ H$ N——Excusez-moi, êtes-vous monsieur Redon ?
+ @% v; U) `" @——Ah !Non,vous vous trompez.Je ne suis pas monsieur Redon.
——J’en sui sûr,parce que monseiur Redon c’est moi,et c’est mon manteau que vous venez de prendre.

Au concert
. e/ {8 P& Y9 d3 QLes Dupont vont pour la première fois écouter un concert de grande musique.Ils arrivent en retard et s’assoient sans faire de bruit.Le public écoute avec attention.Alor,très bas,madame Dupont demande à sa voisine :
——Pardon,madame,que joue-t-on en ce moment ?
——La Neuvième Symphonie de Beethoven.
) P  l0 k6 d4 R" O( {" Q2 e) JMadame Dupont se tourne vers son mari qui a entendu et lui dit :
9 B& g9 W" X8 J——Tu te rends compte(you see),Gérard,on a manqué les huit premières !
% A4 @& v+ c8 W7 Q* S
9 X; o( O( t) A, p, f0 r% c. mLe future du verbe bâiller
Le professeur :
——Quel est le futur du verbe ‘bâiller’ ?
L’élève :
——Je dors,tu dors,il dort

Fausses dents
3 l) N, q1 U# J# |Le docteur :
——Mais,madame,vous mangez beaucoup très vite.La nature vous a donné des dents,servez-vous-en,et vous digêrerez mieux.
La dame :
( X! p9 V: Y' F8 D% _——Pardon,docteur.On ne me les a pas données.Je les ai achetées.
& f- w0 W5 s1 Y) U
A l’école
Le maître, à un élève : Vous n’écoutez pas,c’est visible,vous commencez à dormir, écoutez.
——Mais,monsieur,c’est justement parce que j’ecoutais que j’ai sommeil.
; Y+ P; Z0 w! Q# k7 w
: V9 h( {6 z3 T# }Le collectioneur de tableaux
L’écrivan Francis Carco aimait beaucoup la peinture et avait de très beaux tableaux.
1 V% C% W. s# I7 c% N$ b# u- WUn de ses amis lui dit un jour :
6 q" x; X4 o/ B8 W" g' A; B——Si vous vendiez tous ces tableaux,vous seriez très riche.
; Z5 T) K8 p1 Z! Y4 e* b——Qui,répond Carco,mais si j’étais très rich,je les rachèterais.
4 O6 J8 [% W8 s) D( e: y
Le silence
Paul Claudel,un célèbre écrivain français,aimait beaucoup écouter la musique.Un jour,il se trouvait au concert avec une amie.Celle-ci,pour plaire à lécrivain,lui dit
5 f  d5 r9 G' ?% S+ B% Q5 Z2 p——A !maître, y a-t-il au monde quelque chose de plus beau que la musique ?
——Oui,madame,répond Claudel,le silence.
% I, q% h/ a9 N7 L& h! e. nUne bonne institutrice
: b2 q/ m. h: x) p: }La maman :Aimes-tu ta nouvelle institutrice,Paul ?
Paul :Oh,oui,maman,beaucoup.
' O  A* {3 D+ w  p; G7 Z3 B6 @Maman :A !Je suis très heureuse que mon petit Paul ait enfin une bonne institutrice.
/ E( s, R5 ^0 ]7 I9 z% qPaul :Je n’en ai jamais eu de si bonne.Elle dit que pue lui importe (it doesn’t matter much to her) que j’apprenne quelque chose ou non,pourvu que (only if) papa la paie.
' S! O6 z) t! P" M. d; y) y4 Y' wElève impertinent
( S0 U& x0 |0 \. O  w* ZLe maître d’école : Comment se fait-il que(how come) tu ne saches comment s’écrit : Egypte?
1 ^7 ^& B0 `* }: m8 e1 dL’élève : C’est parce que je n’ai pas un livre avant de moi comme vous,monsieur.
% S1 n& p( \1 i! H4 x2 {. u# K
0 {/ q( i9 S; AUn bon raisonnement
3 B6 S  c% P6 ]Le client :
! F5 U) G, K) M& T% ]- r- N----Ces cigares sont plus petits que d’habitude.
Le marchand de tabac :
' [" D' a. D% w. B; J4 x& ]----Oui,monsieur. On a remarqué qu’il y a toujours un bout de trois centimètres qui est jeté. Alors on les a faits de trois centimètres plus courts.
) Q5 f: q5 M7 l
2 ~( K* C: V( j* a: g) MA l’hôtel
Le voyageur :
----Comment! Quarante francs pour cette chambre! Le lit etait si mauvais que je n’ai pas pu fermer l’oeil de la nuit (dans la nuit), j’ai été obligé de lire dans le fauteuil pour passer le temps.
" Q- ]; o) \- H. Z% @( K4 d! nL’hôtelier :
, V8 U, |/ }% Z----Oh! Alors, ce sera un franc de plus pour le lumière.

# L0 Q2 A8 [- Q6 Y8 S5 xUne preuve
----Vous dites que ce sont bon souliers. Pourrai-je les porter longtemps?
& \9 }! T3 Y7 p/ x6 H----Indéfiniment,monsieur. Pas un de nos clients n’est revenu en acheter une seconde paire!