a我考网

 找回密码
 立即注册

QQ登录

只需一步,快速开始

扫一扫,访问微社区

查看: 169|回复: 3

[法语阅读] 法语阅读:LE GRIFFON

[复制链接]
发表于 2012-8-16 14:33:43 | 显示全部楼层 |阅读模式
Il était une fois un roi. Où il régnait et comment il s'appelait, je n'en sais plus rien. Il n'avait pas de fils, mais une fille unique. Elle était toujours malade et aucun docteur ne pouvait la guérir. Quelqu'un dit au roi qu'elle retrouverait la santé si elle mangeait des pommes. Le roi fit savoir dans tout le pays que celui qui apporterait à sa fille des pommes qui la guériraient la recevrait en mariage et serait fait roi. Parmi ceux qui en entendirent parler se trouvait un paysan qui avait trois fils :
$ V" ?- V3 b; A( i1 Z$ N- Va sur nos terres, remplis un panier de belles pommes aux joues rouges et porte-les au château. Peut-être la fille du roi en guérira-t-elle ; tu l'épouseras et deviendras roi.6 [1 c+ o; u! ~6 O0 c. z$ ~
Le jeune homme fit ce qu'on lui disait et se mit en route. Au bout de quelque temps, il rencontra un petit homme vêtu de gris. Celui-ci lui demanda ce qu'il portait dans son panier. Uli - c'est ainsi que se nommait le jeune homme - lui répondit :
7 h4 f; S: ~4 t- M& }* r- Des cuisses de grenouilles !2 y7 f' |0 T$ k. w2 d$ m
Le petit homme dit alors :
4 o0 l* t& F( p' E. I8 _- Eh bien ! qu'elles le soient et qu'elles le demeurent !& @. z) Y8 K  U
Et il s'en alla. Finalement, Uli arriva au château et se fit annoncer. Il avait des pommes, dit-il, qui guériraient la princesse si elle en mangeait. Le roi se réjouit fort et fit amener le jeune homme aussitôt. Mais, oh ! surprise, quand il ouvrit le panier, il était plein de cuisses de grenouilles et non de pommes. Et les cuisses remuaient encore. Le roi se mit en colère et le fit chasser du château. Quand Uli fut de retour à la maison, il raconta à son père ce qui lui était arrivé.
4 m* Q" N: D# z! g9 hLe père envoya alors son second fils, qui s'appelait Samuel. Il lui arriva la même chose qu'à Uli. Il rencontra également le petit homme en gris qui lui demanda ce qu'il avait dans son panier. Samuel dit : - Des soles de porc.
0 f- I5 g+ \0 ~6 a8 m( nLe petit homme gris dit :8 T2 G7 W2 R0 `7 s
- Eh bien ! qu'elles le soient et le demeurent !: R7 {! M3 [# R
Quand Samuel arriva au château et qu'il eut fait annoncer qu'il apportait des pommes susceptibles de guérir la princesse, on ne voulut tout d'abord pas le laisser entrer. On lui dit qu'il était déjà venu quelqu'un qui les avait pris pour des fous. Samuel insista. Il avait vraiment des pommes ; il fallait le laisser entrer. Mais quand il ouvrit son panier, il était plein de soles de porc. Le roi se mit tellement en colère qu'il fit jeter Samuel à la porte à coups de cravache. Quand le garçon fut rentré chez lui, il raconta ce qui lui était arrivé.- x" z5 u- P; T  z' [) j; U9 p
Le plus jeune, celui qu'on appelait Jeannot le Bêta, s'approcha d'eux. Il demanda à son père s'il ne pourrait pas lui permettre de porter lui aussi des pommes au roi.6 {5 Y5 ^: [) r9 x  V( B
- Toi, dit le père, tu es vraiment l'homme qu'il faut pour cela ! Si ceux qui sont intelligents n'y arrivent pas, que pourrais-tu bien faire !
; o6 E- w1 @8 }Mais le jeune homme insista.3 j1 F& w/ E( h: E/ c- ?" ?
- Père, j'aimerais essayer moi aussi !6 \  z# e1 B% N3 h
- Tais-toi donc, imbécile ! attends d'être devenu plus malin ! répondit le père en lui tournant le dos.0 O( S+ K' D2 u$ k- g
Jeannot le tira par les basques :
2 d' u4 \+ b; H7 r& G2 y/ _- Père, je voudrais essayer moi aussi !5 ]9 Q- A6 ?! Z% w3 A
- Eh bien ! si tu veux, vas-y ! Tu finiras bien par revenir. Le garçon en sauta de joie.
3 S6 J" I+ c& d* g- C'est ça, fais le fou ! dit le père. Tu deviens plus stupide de jour en jour !
+ s$ |& l4 z1 c& Q, ^* yMais Jeannot s'en moquait. Rien ne pouvait ternir sa joie.
2 l# v3 q* M, U6 j' OComme la nuit allait bientôt tomber, il décida d'attendre le lendemain. D'abord il ne trouva pas le sommeil. Finalement, il s'assoupit et rêva de jolies jeunes filles, de château d'or, d'argent et de bien d'autres choses encore. Dès l'aube, il se mit en route et avant peu rencontra le petit homme morose dans son habit gris qui lui demanda ce qu'il portait dans son panier. Jeannot lui répondit que c'était des pommes qui devaient redonner la santé à la fille du roi.
9 b- `4 [5 ~  o4 V2 x- Eh bien ! dit le petit homme, qu'elles le soient et le demeurent !
; P6 l7 q- K% g# Y: p$ A. t0 ^; w
) {) R1 M: b2 jAu château, on ne voulut pas le laisser entrer. On lui dit qu'il en était déjà venu deux autres qui prétendaient apporter des pommes. Le premier avait des cuisses de grenouilles, le second des soies de porc. Jeannot affirma solennellement qu'il apportait bien des pommes et pas des cuisses de grenouilles, les plus belles pommes du royaume. Comme il semblait sincère le portier finit par se dire . « Celui-là ne ment pas ! » Et il le laissa entrer. Il avait eut raison. Quand Jeannot ouvrit son panier devant le roi, il était plein de pommes jaune d'or. Le roi était très content. Il fit aussitôt porter des pommes à sa fille et attendit avec impatience de savoir ce qui en résulterait. Bientôt quelqu'un vint lui donner des nouvelles. Et qui était-ce, à votre avis ? La fille du roi elle même ! À peine avait-elle goûté aux pommes qu'elle avait bondi hors de son lit, guérie ! Combien fut grande la joie du roi, on ne peut le décrire.
回复

使用道具 举报

 楼主| 发表于 2012-8-16 14:33:44 | 显示全部楼层

法语阅读:LE GRIFFON

</p>Cependant, le roi ne voulait pas encore donner tout de suite sa fille en mariage à Jeannot. Il lui demanda de construire d'abord une nacelle qui navigu&acirc;t sur terre encore mieux que sur l'eau. Jeannot n'y trouva rien à redire. Il rentra à la maison et raconta aux siens ce qui s'était passé. Le père envoya Uli au bois pour qu'il y construisit la nacelle demandée. Tout en sifflotant une chanson, le gar&ccedil;on y mit beaucoup de zèle. Vers midi, quand le soleil fut au plus haut, le petit homme en gris arriva et lui demanda ce qu'il faisait là. Uli lui répondit :) V( |- G& s' i* I
- Des ustensiles en bois !; U. J* C" w9 [& q( d
Le petit homme dit :
3 C" Z) X4 `6 U- s0 V/ e) M1 I- Eh bien ! qu'il en soit ainsi et que cela le reste !
$ N: G+ }9 o$ {$ d, h: pLe soir, Uli pensa qu'il avait construit une nacelle. Mais quand il voulut s'y asseoir, elle vola en éclats et des ustensiles en bois se répandirent partout.
( h. l: J2 H. H- B; ~$ ~Le lendemain, ce fut au tour de Samuel d'aller à la forêt. Il ne lui arriva rien d'autre qu'à Uli. Le troisième jour, Jeannot le Bêta s'y rendit à son tour. Il travailla d'arrache-pied. La forêt résonnait tout entière des coups qu'il assenait. En même temps, il chantait et sifflait joyeusement. Quand arriva midi, le petit homme apparut de nouveau et lui demanda ce qu'il faisait :
" Q0 n! ]; ?# [' J+ C" ]8 c- Une nacelle qui aille encore mieux sur terre que sur l'eau, répondit Jeannot.
8 T9 V6 k2 F) T4 J0 f- b- uEt il expliqua que quand il aurait réussi à la construire, il obtiendrait la fille du roi pour épouse.' v4 m/ J: ?, z& H! A! w3 h
- Eh bien ! dit le petit homme, qu'il en soit ainsi et que cela le reste !
2 F, d0 t% ]- pLe soir, quand le soleil se coucha, brillant comme de l'or pur, Jeannot avait achevé de construire sa nacelle et tous les accessoires nécessaires. Il y prit place et rama en direction du ch&acirc;teau royal. La nacelle filait comme le vent. Le roi le vit arriver de loin, mais il n'accepta pas encore de lui donner sa fille. Il lui demanda de garder auparavant un troupeau de cent lièvres du matin jusqu'au soir. S'il s'en échappait un seul, il n'épouserait pas sa fille. Jeannot, là encore, se déclara d'accord. Dès le lendemain, il partit par les prés avec son troupeau, en prenant bien garde qu'aucun lièvre ne s'échapp&acirc;t. Bient&ocirc;t arriva une servante du ch&acirc;teau qui le pria de vite lui en donner un. On attendait un invité de marque. Mais Jeannot comprenait fort bien où l'on voulait en venir. Il répondit qu'il ne donnerait pas de lièvre. Le roi n'avait qu'à attendre le lendemain pour offrir un civet à son h&ocirc;te. Mais la servante n'en démordait pas. Jeannot lui dit alors qu'il ne donnerait un lièvre que si le roi venait en personne le lui demander. La servante fit part de cette réponse au ch&acirc;teau. La fille du roi vint alors elle-même. Entre-temps, Jeannot avait rencontré le petit homme qui lui avait demandé ce qu'il faisait là. Il lui fallait garder cent lièvres, lui avait-il répondu, et veiller à ce qu'aucun ne s'enfuit. S'il réussissait, il épouserait la princesse et deviendrait roi.1 U( }; u% E5 T( W! x5 G
- Bien, avait dit le petit homme voici un sifflet. Si l'un des lièvres se sauve, tu n'auras qu'à souffler dedans et il reviendra.% v( o( m0 m; H
Quand la fille du roi arriva, Jeannot déposa un lièvre dans son tablier. Mais à peine eut-elle parcouru une centaine de mètres qu'il porta son sifflet à ses lèvres et - pas vu, pas pris ! - le lièvre sautait du tablier et rejoignait le troupeau. Quand vint le soir, Jeannot siffla une dernière fois, s'assura qu'il ne manquait aucun lièvre et ramena son troupeau au ch&acirc;teau. Le roi s'émerveilla de ce que Jeannot e&ucirc;t pu garder cent lièvres sans en perdre un seul. Mais il ne voulut toujours pas lui donner sa fille. Il exigea de Jeannot qu'il lui apport&acirc;t une plume de la queue du Griffon.. }0 d8 ]  l  B, b

) ^" K$ w+ o; m" x! |! iJeannot se mit aussit&ocirc;t en route et il marchait à grands pas. Au soir, il arriva devant un ch&acirc;teau et il demanda l'hospitalité pour la nuit, car à cette époque, il n'existait pas encore d'h&ocirc;tels. Le seigneur du ch&acirc;teau accepta avec joie et lui demanda où il allait. Jeannot répondit :
回复 支持 反对

使用道具 举报

 楼主| 发表于 2012-8-16 14:33:45 | 显示全部楼层

法语阅读:LE GRIFFON

</p>- Chez le Griffon.1 g8 Y( \+ T$ p
- Chez le Griffon ? répéta le seigneur. On dit qu'il sait tout. J'ai perdu la clé de mon coffre-fort ; aurais-tu l'amabilité de demander au Griffon où elle se trouve ?" G* @( _5 Y" t
- Bien s&ucirc;r ! répondit Jeannot. Je le ferai.6 O  m) p; X& K0 N* H
Le lendemain matin, très t&ocirc;t, il reprit son chemin et, le soir, il arrivait à un autre ch&acirc;teau où il passa la nuit. Quand on apprit qu'il était à la recherche du Griffon, on lui dit que la fille de la maison était fort malade ; on avait déjà tout tenté, mais rien n'y faisait. Accepterait-il de demander au Griffon ce qui rendrait la santé à la jeune fille ? Jeannot répondit qu'il le ferait avec plaisir et poursuivit sa route. Il arriva au bord d'une large rivière. Au lieu d'un bac pour la traverser, il vit un homme très grand qui portait les gens de l'autre c&ocirc;té. L'homme lui demanda où il allait :- M0 V! A' _2 u& z& d
- Chez le Griffon, répondit-il., T# A" O* V, G+ I, v. U
- Eh bien quand vous serez auprès de lui, dit l'homme, demandez-lui donc pourquoi il me faut porter les gens de l'autre c&ocirc;té de l'eau.: g& I  [! b  k0 `' h! a* g
Jeannot répondit :
6 l% r6 {/ v) r7 x0 L. x- Par Dieu, oui ! Je le lui demanderai./ R4 S: a# \$ E
L'homme le prit sur ses épaules et le porta sur l'autre rive. Finalement Jeannot arriva à la maison du Griffon. Mais seule sa femme y était. Le Griffon était sorti. Sa femme demanda à Jeannot ce qu'il voulait. Et Jeannot lui raconta tout : qu'il devait ramener une plume de la queue du Griffon ; qu'il devait lui demander où se trouvait la clé du coffre du ch&acirc;teau ; qu'il voulait savoir ce qui rendrait la santé à la fille du seigneur du second ch&acirc;teau et pourquoi l'homme devait porter les gens de l'autre c&ocirc;té de la rivière. La femme dit alors :
0 F, N: A' M& |% G; O- Mais, mon bon ami, aucun chrétien ne peut parler avec le Griffon ! Il les mange tous. Cependant, si vous voulez, vous pouvez vous coucher sous son lit. Et pendant la nuit, quand il dormira bien fort, vous tendrez la main vers lui et vous lui arracherez une plume. Pour le reste, je le lui demanderai moi-même.. V/ `% u& i9 s1 q
Jeannot trouva tout cela fort bien et il s'allongea sous le lit. Le soir, le Griffon rentra à la maison. Dès qu'il eut pénétré dans la chambre, il dit :- m3 H( {3 e6 W9 X' }
- Femme, &ccedil;a sent le chrétien !0 |& c2 d, M( F- h* j- d. P
- Oui, répondit-elle, il en est venu un aujourd'hui, mais il est reparti.7 k+ b, ~; e5 ~* T. F. h
Le Griffon se tut. Au milieu de la nuit, alors qu'il ronflait comme un sonneur, Jeannot avan&ccedil;a la main vers le lit et lui arracha une plume de sa queue. L'oiseau se réveilla en sursaut et dit :
6 y& ?' u" |1 V, M/ I- Femme, &ccedil;a sent le chrétien ! et j'ai comme l'impression qu'il y en a un qui a plumé ma queue.  K2 U3 r( A! {9 G' Y
Sa femme répondit :
  N; X( X5 B! D( x; N- Tu as certainement rêvé. Je t'ai déjà dit qu'il en est venu un aujourd'hui, mais qu'il est reparti. Il m'a raconté toutes sortes de choses. Il para&icirc;t qu'au ch&acirc;teau on aurait perdu la clé d'un coffre et qu'on n'arrive pas à la retrouver.
4 W% [6 p1 Q, s6 s3 \- F- Quels fous ! dit le Griffon. La clé se trouve au b&ucirc;cher, derrière la porte, sous une pile de bois.
  U+ X0 X5 P# A5 @- Il a dit aussi que dans un second ch&acirc;teau il y a une jeune fille bien malade, que personne ne sait comment guérir.
1 S& t+ j2 P5 E- Quels fous ! dit le Griffon. Sous l'escalier de la cave, un crapaud a b&acirc;ti son nid avec les cheveux de la jeune fille. Si elle les récupère, elle retrouvera la santé.
6 r, x  i! ~& B# `2 Y* s- Ensuite, il a dit qu'il y a un homme au bord de l'eau qui doit porter les gens sur l'autre rive., O/ @0 m' Q7 A: ?& j+ n6 {# {& E
- Quel fou ! dit le Griffon. S'il en laissait tomber un seul au beau milieu de l'eau, il n'en aurait plus jamais à porter d'autre." l5 j, c5 \# v* Y; K/ D

2 @& P, G) |- f* ^T&ocirc;t le matin, le Griffon se leva et partit. Jeannot sortit de sous le lit, tenant la jolie plume. Il avait entendu ce que le Griffon avait dit de la clé, de la princesse et de l'homme. Pour qu'il n'oublie rien, la femme du Griffon lui répéta tout ce qu'avait dit son mari. Alors il prit le chemin du retour. Il arriva d'abord auprès de l'homme du bord de l'eau. Celui-ci lui demanda tout de suite quelle avait été la réponse du Griffon. Jeannot lui dit de le transporter d'abord : il le lui dirait une fois de l'autre c&ocirc;té. L'homme le porta et Jeannot lui rapporta que s'il laissait tomber un seul de ses passagers au milieu de l'eau, il n'aurait plus jamais à en transporter. Le passeur se réjouit fort et offrit à Jeannot, en manière de remerciement, de lui faire effectuer un aller et retour. Jeannot refusa, disant qu'il ne voulait pas lui causer cette fatigue, qu'il était bien content comme &ccedil;a. Et il s'en alla. Il arriva au ch&acirc;teau où la fille du roi était malade. Il la prit sur ses épaules (elle ne pouvait pas marcher), la porta au bas de l'escalier de la cave et retira le nid du crapaud de sous la dernière marche. Il le mit dans la main de la princesse. Elle sauta de ses épaules et remonta l'escalier devant lui. Elle était guérie. Son père et sa mère en furent très heureux. Ils firent cadeau à Jeannot d'or et d'argent et lui donnèrent tout ce qu'il désirait. Quand le gar&ccedil;on arriva au premier ch&acirc;teau, il se rendit tout droit au b&ucirc;cher, trouva la clé derrière la porte, sous la pile de bois et l'apporta au seigneur. Celui-ci en fut bien content. En récompense, il lui donna une grande partie de l'argent qui était dans le coffre et, par-dessus le marché, des vaches, des moutons, des chèvres et toutes sortes d'autres choses.
回复 支持 反对

使用道具 举报

 楼主| 发表于 2012-8-16 14:33:46 | 显示全部楼层

法语阅读:LE GRIFFON

</p>Quand Jeannot arriva chez le roi avec l'or, l'argent, les vaches, les moutons et les chèvres, celui-ci lui demanda d'où il tenait tout &ccedil;a. Jeannot lui répondit que le Griffon donnait à quiconque ce que quiconque désirait. Le roi se dit qu'il pourrait bien en profiter lui aussi et il se mit en route pour aller chez l'oiseau. Quand il arriva au bord de l'eau, personne ne s'y était encore présenté depuis le passage de Jeannot. Le porteur le laissa tomber au beau milieu et s'en alla. Le roi se noya. Quant à Jeannot, il épousa la princesse et devint roi
回复 支持 反对

使用道具 举报

您需要登录后才可以回帖 登录 | 立即注册

本版积分规则

Archiver|手机版|小黑屋|Woexam.Com ( 湘ICP备18023104号 )

GMT+8, 2024-5-15 11:16 , Processed in 0.600914 second(s), 27 queries .

Powered by Discuz! X3.4 Licensed

© 2001-2017 Comsenz Inc.

快速回复 返回顶部 返回列表