Monsieur Feitler : Bonjour, Monsieur Robert. Ca va ?
2 Z# Z4 P& \3 @ f) Z R : Bonjour, monsieur Feitler.
a n8 p: N$ g9 V' s$ r F : Eh bien ! avant midi, j’ai fait un tour de reconnaissance dans la ville. cet après-midi j’irai à la Foire Technique.( L+ h& i d! T+ q+ s! f! w
F : Ainsi, vous n’avez encore pas vu notre stand ?) o ]8 ]# A9 O
R : Pas encore, non, mais je vais me rattraper cet après-midi.
2 }8 O9 X; T1 W/ a F : Alors, ce serait une joie pour moi, de pouvoir vous accompagner.
) k2 `. e+ _3 h- R1 ` R : Oh ! Je vous en serais très reconnaissant ! Je serais vraiment très heureux si vous pouviez me montrere les nouveautés les plus importantes, dans votre branche. Cependant, auhourd’hui je dois farie le tour de l’industrie des machines-outils. Demain après-midi, j’ai rendez-vouos avec le directeur d’une assez grosse entreprise, à qui je dois commander éventuellement des machines à aiguiser.
* ^2 P+ b* B- J4 A$ c1 J+ t: w: w F : Ah, ah ! Vous voulez vous informer avant, de ce que présentent d’autres maisons, n’est pas ?2 p; e o! \8 J) e# N
R : Naturellement. Il parait que la Tchécoslovaquie et l’Union Soviétique présentent, cette fois-ce encore, un choix très interessant.+ v4 p! h& i9 h: p; }
F : Comme vous le savez, les machines-outils, ce n’est pas mon rayon, mais ce soir vers 17 heures, je dois retrouver un ami hindou, qui s’interesse d’une manière tout à fait générale à notre production de machines. Peut-être pourrions-nous faire ensemble le tour des différents halls.6 n! r" `( i( _7 a& M! F
R : D’accord, Et si quelque chose m’interesse spécialement j’aurai assez de temps, encore, demain matin, pour me renseigner de fa?on plus précise.$ ^: l4 \, [& h/ E5 O# T( M' O3 P" z4 j
F : Si vous aviez des difficultés de langue , vous savez, le servie des interprêtes est à votre disposition. |