R : Bonjour, monsieur Feitler.
& U& `1 ]) i( [ |1 O' tF : Eh bien ! avant midi, j’ai fait un tour de reconnaissance dans la ville. Cet après-midi j’irai à la Foire Technique. ' O; w1 ~9 L: ~9 I1 V. ~
F : Ainsi, vous n’avez encore pas vu notre stand ?
3 C; i7 L. r8 V9 U) Y+ _+ OR : Pas encore, non, mais je vais me rattraper cet après-midi. ; Y5 g, I5 `; e( Q# }
F : Alors, ce serait une joie pour moi, de pouvoir vous accompagner.
9 _2 y3 N6 }2 H4 e( F i; nR : Oh ! Je vous en serais très reconnaissant ! Je serais vraiment très heureux si vous pouviez me montrere les nouveautés les plus importantes, dans votre branche. Cependant, auhourd’hui je dois farie le tour de l’industrie des machines-outils. Demain après-midi, j’ai rendez-vouos avec le directeur d’une assez grosse entreprise, à qui je dois commander éventuellement des machines à aiguiser.
0 Y) q4 a6 h3 A" ?4 v5 BF : Ah, ah ! Vous voulez vous informer avant, de ce que présentent d’autres maisons, n’est pas ?
+ Q5 ~* p6 e; s/ x6 {- t$ r& Z# RR : Naturellement. Il parait que la Tchécoslovaquie et l’Union Soviétique présentent, cette fois-ce encore, un choix très interessant. 9 U5 V, L0 j1 S2 Q/ F" s
F : Comme vous le savez, les machines-outils, ce n’est pas mon rayon, mais ce soir vers 17 heures, je dois retrouver un ami hindou, qui s’interesse d’une manière tout à fait générale à notre production de machines. Peut-être pourrions-nous faire ensemble le tour des différents halls.
* W3 j6 C2 p& z4 u' \0 ZR : D’accord, Et si quelque chose m’interesse spécialement j’aurai assez de temps, encore, demain matin, pour me renseigner de fa?on plus précise. ' F$ X2 _6 K, Y6 g. y* d
F : Si vous aviez des difficultés de langue , vous savez, le servie des interprêtes est à votre disposition. |